
En lisant des rapports et des articles plus anciens concernant la situation entre l’Azawad et le Mali, nous pouvons lire ces déclarations horribles mais historiquement documentées et vraies, qui ne laissent aucun doute sur le fait qu’il s’agit d’un génocide calculé qui se déroule depuis les années 60 – et qui se poursuit encore aujourd’hui avec une extermination du peuple azawadien à un rythme effroyable.

Cette extermination ou génocide a de nombreuses facettes, certaines presque cachées mais tout aussi dangereuses pour l'existence d'un peuple et de sa culture. Voici quelques déclarations qui ont été documentées à divers endroits :
« La solution au problème touareg réside dans leur extermination. » – Propos d’un commandant militaire malien, en 1990.
« Le commandant Moussa Badougou Koné, de l’armée malienne de l’époque, a aligné 10 Touaregs ligotés, les a aspergés d’essence puis les a incendiés. – 1990. C’est quelque chose qui se produit encore aujourd’hui.
« Ce sont des enfants qui ont visité notre planète pendant quelques jours et qui sont repartis avec des souvenirs terrifiants » – Dit un médecin à propos des enfants réfugiés touaregs.
A PROPOS DU RACISME MALIEN :
« Il suffisait d’avoir la peau claire pour se faire attaquer par eux » (par eux, c’est-à-dire l’armée malienne) – 2012. C’est le même racisme aujourd’hui !
« Les milices maliennes disaient : « Nous n’aimons pas vous voir blancs, mais noirs comme nous », c’est-à-dire carbonisés. – À propos des Azawadiens brûlés vifs, à Gao, en 2015. C’est encore le cas aujourd’hui !
Cela montre la profondeur de la haine et du racisme qui visent le peuple azawadien juste parce qu’il n’est pas le même peuple que les Maliens. Et parce qu’il se bat pour sa terre et sa liberté. Parce qu’il résiste !
Groupe de soutien Azawad 23-02-25