LES VIOLATIONS PERSISTANTES DES DROITS DE L'HOMME DANS L'AZAWAD CONFIRMENT LA RESPONSABILITÉ DES FORCES ARMÉES MALIENNES, DES MERCENAIRES DE WAGNER ET DES GROUPES DJIHADISTES.

Un rapport du Rassemblement pour la défense des droits du peuple Azawadi révèle des violations persistantes des droits de l'homme dans l'Azawad, confirmant la responsabilité des forces armées maliennes, des mercenaires de Wagner et des groupes djihadistes.

Ce rapport reflète la réalité tragique à laquelle sont confrontées les populations de l'Azawad sous le joug de l'occupation malienne et de ses alliés, les mercenaires de Wagner et les groupes djihadistes. La persistance des violations des droits de l'homme dans la région n'est pas nouvelle, mais elle s'aggrave avec l'influence croissante de forces qui ne voient dans l'Azawad qu'une arène de conflits et d'intérêts.

Les responsabilités sont clairement énoncées dans le rapport :

Les forces armées maliennes : Ils ont depuis longtemps recours à une violence systématique contre les civils de l'Azawad, allant des exécutions massives aux déplacements forcés et à l'incendie de villages.

Mercenaires Wagner : Leur implication dans les assassinats et les abus est évidente depuis leur arrivée, ciblant des activistes, des enseignants et des personnalités influentes, comme ils l'ont fait pour Maâlem Maïga à Talabet.

Groupes djihadistes : Ils continuent à répandre le chaos et à justifier la présence de forces étrangères en fabriquant des crises de sécurité, servant des agendas internationaux plutôt qu'un "conflit religieux".

Ce rapport confirme que l'Azawad n'est pas une simple "zone de tension", mais plutôt le théâtre d'un projet de génocide culturel et politique contre un peuple qui refuse de se soumettre. La lutte pour la liberté et l'indépendance reste donc le seul moyen de mettre fin à ces crimes.

Implications du rapport

Complicité du Mali avec les forces répressives

Le gouvernement malien ne se contente plus de commettre des violations directes, il a également ouvert la porte aux mercenaires de Wagner pour qu'ils commettent des crimes de guerre sous couvert de "rétablissement de la sécurité".

Wagner : Un nouvel outil colonial

Depuis leur arrivée, ils ont adopté une politique d'élimination physique des figures de l'Azawad, ciblant les leaders intellectuels et éducatifs comme Maâlem Maïga, démontrant que leur projet n'est pas seulement une opération de combat, mais une tentative de génocide culturel systématique.

Les groupes djihadistes : Le bras officieux de la répression

Leur rôle dans la propagation du chaos et le ciblage des civils sert les intérêts de tous ceux qui veulent que l'Azawad reste faible. Ils fournissent un prétexte à la poursuite de l'occupation malienne et justifient la présence de Wagner.

Quels sont les besoins ?

Activer la pression internationale : Les organisations de défense des droits de l'homme doivent aller au-delà des déclarations de condamnation et imposer des sanctions et des enquêtes indépendantes sur ces crimes.

Renforcer les médias indépendants de l'Azawad : Exposer ces crimes au monde est une nécessité stratégique pour briser le blocus médiatique imposé par le régime malien et ses alliés.

Poursuivre la lutte : Ce rapport ne devrait pas être un simple document ajouté aux archives, mais plutôt une motivation pour continuer la lutte jusqu'à ce que la liberté totale soit atteinte.

L'Azawad n'est pas seulement une "zone de conflit", mais la patrie d'un peuple qui refuse le génocide et ne se soumettra pas aux tentatives d'effacement, quels que soient les sacrifices.

Azawad Freedom Voice 20-03-25

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