"ZARHOU N'ÉTAIT PAS UN VILLAGE... C'ÉTAIT UNE PLAIE SAIGNANTE DANS LE CORPS DE L'AZAWAD, TRANSFORMÉE EN CHARNIER !

Zarhou n'était pas un village... c'était une plaie saignante dans le corps de l'Azawad, et ils en ont fait un charnier !"

Oh mon Dieu... la tragédie de Zarhou crie au visage d'un monde qui a choisi de rester silencieux !

Dans le village azawadien de Zarhou, il n'y avait pas d'armée... il n'y avait pas d'armes... seulement des gens simples, habitant la terre comme la nostalgie habite nos cœurs.

Mais sans pitié, les hordes wagnériennes et les milices maliennes sont entrées, comme une tempête de haine.

Ils brûlent les maisons, pillent tout ce qui est léger et précieux, et massacrent toutes les personnes présentes : les femmes, les enfants, les personnes âgées et même les nourrissons ne sont pas épargnés par cette brutalité.

Le sang a coulé sur le sol de Zarhou, et le bruit des cris s'est mêlé aux ululements des cortèges funèbres.

Est-ce là la "paix" que le Mali promeut ?

S'agit-il de la "lutte contre le terrorisme" par laquelle la Russie couvre les massacres de Wagner ?

Celui qui se cache pendant des jours reste nu...
Et voilà les massacres qui dévoilent les intentions et révèlent le masque de l'occupation déguisée en État.

Avec la complicité silencieuse du régime malien et de ses alliés russes, les milices terroristes de Wagner et les criminels maliens ont commis un massacre brutal dans le village de Zarhou, dans l'Azawad. Des innocents ont été abattus comme des moutons, des corps ont été brûlés sous les décombres de leurs maisons, et des corps de nourrissons ont été vus jetés dans les feux comme du bois de chauffage !


Nous adressons nos questions au monde :

  • Où est la "légitimité internationale" lorsqu'un peuple sans défense est massacré ?
  • Comment la Russie peut-elle permettre aux criminels de Wagner de "lutter contre le terrorisme" alors qu'ils tuent des enfants au couteau ?
  • Votre silence, acheté avec le sang des Africains, est-il le prix du gaz et du pétrole russes ? Nous le déclarons d'une voix qui ébranle les trônes des tyrans :
  • Le sang de Zarhou ne séchera pas tant que toutes les mains qui l'ont assassinée ne seront pas tenues pour responsables !
  • Nous n'oublierons pas, nous ne pardonnerons pas et nous ne nous agenouillerons pas !

#ZarhouMassacre n'est pas un chiffre dans vos fausses statistiques... C'est une tache sur le front de l'humanité !


Voix de la Liberté de l'Azawad

12-04-25

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