
“Azawad Freedom Voice” is a bold and analytical platform echoing from the Sahara’s heart. We speak of Azawad—not as others imagine it, but as it truly is.
Nous posons les questions difficiles, nous démêlons les couches de silence et nous disons la vérité au pouvoir.
Ici, les mots résistent. La pensée libère.
Azawad Freedom Voice News est une page de Azawad Freedom Voice. Elle se concentre sur les droits du peuple azawadien et les nouvelles de l'Azawad ⴰⵣⵓⴷ.
ⵙ ⴰⵣ صوت الحرية أزواد ⴰⵣ ⵙ
ⵙ ⴰⵣ SOUT AL-HURRIYA AZAWAD ⴰⵣ ⵙ
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Seven days… and your head is held high
A 19th-century photo shows the severed head of an Azawadi activist, hung on a stake in the public square, by order of the French colonizers. Not only was he killed, but he was hung for seven days or more as an example… but they didn’t understand anything.
They did not sow fear, but awakened pride.
The head was higher than their swords.
Voix de la Liberté de l'Azawad
29-05-25
So that Azawad does not lose itself.
What happened to the Tuareg in Mali is a deliberate loss of self.
Just as Azaykou said, “To lose our language is to lose ourselves.”
Their language was confiscated from schools and the media.
Their culture was banished from the curriculum.
Their regions were left without roads, hospitals, or opportunities.
Their children grew up in an educational system that neither represented nor understood them.
Le résultat ?
A people without a mirror in which to see themselves.
The Tuareg were marginalized geographically, linguistically, and educationally… They lost their presence in the state, but they have not yet lost themselves.
And so, their struggle is an attempt to reclaim what was stolen from them: language, dignity, and place.
In short: when the language was lost, the erasure began.
But there are still those who write, speak, and teach…so that Azawad does not lose itself.

In the heart of the desert… it’s not just a land drawn on a map, but a living memory that pulsates with the name Azawad.
Here, where the sands preserve the footsteps of our ancestors, and the winds whisper the stories of an unbroken people. A map that represents not just borders, but pain, hope, and a cry of identity.
Azawad is not a political shadow, but a cultural flame, music that embraces the sky, and colors that tell an epic of struggle.
From every grain of sand… a story sprouts,
and from every Tuareg tune… a promise of freedom is born.
t.me/AzawadVoiceIn the heart of the desert… it’s not just a land drawn on a map, but a living memory that pulsates with the name Azawad.
Here, where the sands preserve the footsteps of our ancestors, and the winds whisper the stories of an unbroken people. A map that represents not just borders, but pain, hope, and a cry of identity.
Azawad is not a political shadow, but a cultural flame, music that embraces the sky, and colors that tell an epic of struggle.
From every grain of sand… a story sprouts,
and from every Tuareg tune… a promise of freedom is born.
#Voix_de_la_Liberté_Azawad
#Map_of_Dignity
t.me/AzawadVoice
25-05-25
Pillage de l'Azawad dans le désert du Sahara

La Grande Russie Tsariste…
Le pays des armes nucléaires, de Mars, de Sukhois et des ours polaires… a envoyé ses meilleurs soldats ratisser le désert du Sahara au Mali.
Mais pas pour rechercher le terrorisme, non, messieurs…
Plutôt chercher un sac de riz, une télévision d'occasion, ou même une porte en fer !
À Tinasakou, les soldats de la grandeur russe fouillent les magasins… cassant les serrures comme des bandits, pillant comme dans une caravane mongole !
Il ne s'agit pas d'une armée, mais d'une équipe de déménageurs professionnels !
Le Russe soulève un « dabash », transporte un réfrigérateur d’une maison azawadite, transporte des « royalties », défonce une porte, vole un téléphone… puis crie à la caméra : « Nous sommes venus restaurer la souveraineté ! »
Qui, Monsieur Poutine ?
Vos soldats au Mali ont faim !
S’ils trouvent un œuf dur dans une maison azawadienne, ils le coupent en deux et pleurent de joie !
Ô César,
Est-ce là ton pouvoir ?
Piller le pain des pauvres dans le désert ?
C'est ainsi que se construisent les empires ?!
Je jure que nous avons vu des voleurs plus respectables que toi. Ici, en Azawad, on ne peut pas piller sa fierté, même en volant tout.
Voix de la Liberté de l'Azawad
22-04-25
Azawad... Le cœur oublié du grand corps amazigh

Quand le désert appelle : Entre la trahison des cartes et la nostalgie des racines.
Oui, l'origine de l'histoire est évidente dans les yeux qui ne s'éteignent jamais, et dans l'âme qui étouffe sous les sables du désert, où chaque atome raconte une histoire amazighe inébranlable. La patrie amazighe, de Barqa à Nouakchott, de Carthage à Tombouctou, est une unité géographique et spirituelle ancienne, antérieure à l'État et aux cartes post-artificielles.
Tombouctou ? Elle n'a jamais été marginale, mais plutôt un cœur palpitant des réseaux commerciaux, de la science, de la pensée, de la connexion entre le Nord et le Sud... entre Carthage et le bassin du Niger. L'histoire du conflit qui couve commence lorsque la corde entre la tête et le corps a été coupée, lorsque les frontières ont été tracées dans les salons de Paris et de Londres, et non dans un désert qui parle tifinagh.
La division est née du colonialisme et sa continuité est l'hégémonie des nouveaux colonisateurs. La post-indépendance n'a pas été une indépendance à part entière, mais un simple changement de masque : La France, l'Amérique, la Russie, la Turquie, Israël, le Golfe... tous avides, tous à la table, tandis que les propriétaires de la terre étaient en dehors de la scène, silencieux ou exclus.
Quant à nos frères du Nord, comme je l'ai dit : "Celui qui se cache pendant des jours reste nu". Où sont-ils dans tout cela ? Ils se préoccupent de futilités, se vantent de caftan et de couscous, se battent pour savoir qui a inventé le tajine, tandis que l'Azawad crie, l'Azawagh saigne, et que personne ne réagit.
L'Azawad n'est pas une question séparatiste... mais plutôt un retour aux sources. C'est le devoir de tout Amazigh libre de le soutenir, et c'est le devoir de tout Nord-Africain qui comprend le sens de la souveraineté de le reconnaître. Il n'y a pas de chemin vers la libération collective sans la libération du Grand Sahara Amazigh. Celui qui n'a pas de but ne connaîtra pas son chemin, comme l'a dit Mao, et comme l'ont dit les Amazighs il y a des milliers d'années :
ⵉⵣⴰⵍ ⴰⵣⵓⴼⴰⵏⵜ, ⵉⵖⵣⵣⵓ ⵓⵙⴻⵏ.
ⴰⵣⵡⴰⴷ, Une patrie avant les cartes.
Voix de la Liberté de l'Azawad
18-04-25
Sensibilisation à la question de l'Azawad

Dans cette lettre, nous souhaitons attirer votre attention sur la question de l'Azawad, qui n'a pas encore trouvé de solution juste et globale répondant aux aspirations du peuple de l'Azawad à la liberté et à la dignité.
La situation dans l'Azawad exige que nous soyons tous conscients des défis historiques et politiques auxquels la région est confrontée, et nous devons assumer notre responsabilité en sensibilisant et en faisant pression sur les parties concernées pour qu'elles trouvent des solutions réelles, justes et globales.
Depuis les années 1990, le peuple de l'Azawad lutte pour ses droits légitimes à l'autodétermination et à l'indépendance vis-à-vis de l'hégémonie centrale. Cependant, cette question a connu de profonds bouleversements, au cours desquels les conditions politiques et économiques ont été exploitées pour diviser le peuple de l'Azawad lui-même, affaiblir le mouvement révolutionnaire et conduire à son exploitation par diverses puissances régionales et internationales.
Nous ne revendiquons que le droit à l'autodétermination et le droit pour le peuple de l'Azawad de vivre en paix et dans la dignité sur sa terre. Cependant, cet objectif ne peut être atteint sur fond de divisions internes ou d'opportunisme qui exploite la religion et la tribu à des fins politiques étroites. Les solutions durables ne peuvent être construites au détriment des valeurs humaines et ne peuvent être imposées par des mécanismes de violence et de terrorisme.
Nous vous demandons instamment d'aborder la question de l'Azawad comme une cause humanitaire juste qui nécessite un véritable soutien international pour mettre fin aux souffrances actuelles de la population de l'Azawad. Cela nécessite une action de la part des parties concernées à tous les niveaux politiques et humanitaires pour garantir les droits du peuple de l'Azawad à la paix, à la sécurité et à l'indépendance.
Dans ce contexte, nous faisons appel à vous :
Soutenir les efforts visant à trouver des solutions politiques pacifiques qui garantissent les droits de toutes les parties sans exclusion ni marginalisation.
Condamner toute forme d'intervention militaire visant à détruire la société azawadienne ou à en faire un lieu de règlement de comptes politiques.
Faire pression sur les parties internationales pour qu'elles apportent une aide humanitaire et médicale à la population de l'Azawad qui subit les conséquences du conflit.
L'Azawad n'est pas seulement une terre à saisir et à laisser aux mains de mercenaires ; c'est une patrie avec une longue histoire, un peuple généreux et une terre qui aspire à la paix.
Nous espérons que ce message trouvera un écho dans vos cœurs et vos esprits et que vous vous joindrez à nos efforts de sensibilisation et de recherche de solutions justes et durables à la question de l'Azawad.
Nous vous prions d'accepter notre plus grand respect et notre plus grande reconnaissance.
Voix de la Liberté de l'Azawad
16-04-25
Une déclaration au peuple libre de l'Azawad : Assez ! La révolution a été volée... et le voleur est parmi nous !

Ô peuple de l'Azawad,
Fils de la montagne, du sable et du sang,
O toi qui es né du sein de l'oppression, et qui as nourri la dignité au sein du désert...
Nous venons à vous avec ces mots, non pas comme un jeu, ni comme une exagération, ni comme un moyen de stimulation émotionnelle...
Nous venons dire l'amère vérité... La vraie vérité amère : notre problème n'est pas le Mali, notre problème c'est nous !
Oui, écoutez attentivement :
Celui qui a détruit l'Azawad n'est pas l'ennemi qui vient de loin... mais plutôt le "proche" qui l'a poignardé dans le dos, celui qui était avec nous dans la tranchée, et qui sert aujourd'hui au palais de Bamako ou dans les bureaux de renseignement !
La révolution des années 1990 a été volée... et les voleurs de la révolution sont les mêmes que ceux qui dominent la scène aujourd'hui. Ils ne représentent personne d'autre qu'eux-mêmes, et leur seule loyauté va au pouvoir et à l'argent !
Celui qui a vendu son sang et celui des martyrs, et qui a surfé sur la vague de la religion, justifie aujourd'hui le meurtre d'innocents au nom du "califat" !
Et ceux qui se cachent derrière la tribu l'utilisent comme une arme pour détruire l'unité de l'Azawad, trahissant leur peuple pour un poste dans l'armée ennemie !
Et ceux qui chantaient la liberté sont devenus des serviteurs du Mali ou des porte-voix de l'Algérie !
Et les gens ? Ils sont tués ! Ils sont affamés ! On les accuse de terrorisme ! Ils sont utilisés comme des pions ! Et ils sont patients...
Nous le disons aujourd'hui, d'une voix qui n'accepte plus la soumission :
L'Azawad ne sera pas libéré tant qu'il y aura en son sein des traîtres qui portent l'habit de moudjahidine !
Aucun État ne sera créé tant que la tribu sera devenue une arme !
Une cause ne se lèvera pas, et la religion est devenue un commerce entre courtiers en sang !
Notre message :
A Ayad Ghali et à ceux qui le suivent : Vous ne représentez plus que la destruction ! Vous êtes un projet de fragmentation, pas de libération.
A Al-Haji Gamo : Celui qui donne son arme à son ennemi n'est pas digne de confiance pour son peuple !
À tous les chefs de tribus qui restent silencieux face à l'injustice : Votre silence est une trahison, et votre histoire sera enregistrée aujourd'hui non pas dans la poésie, mais dans le sang.
Aux jeunes :
O nouvelle génération de l'Azawad, attention !
Ne croyez pas les faux enturbannés et n'obéissez pas aux cheikhs tribaux qui nous ont vendus par le passé.
Créez votre propre leadership et écrivez votre propre histoire, avec votre propre voix, et non dans l'ombre des traîtres.
O Azawad... Les capitales ne te libéreront pas. Les Nations Unies ne vous rendront pas justice. Vous n'obtiendrez pas vos droits tant que vous n'aurez pas chassé la trahison de chez vous et l'ennemi de vos frontières !
Voix de la Liberté de l'Azawad
16-04-25
Report by the Azawad Freedom Voice – regional states position on the Azawad issue and independence.

Introduction
Depuis la déclaration d'indépendance de l'Azawad en 2012, les tensions politiques et militaires dans la région n'ont pas cessé. Les États de la région entourant l'Azawad - l'Algérie, le Maroc, la Mauritanie, le Niger, le Tchad, le Burkina Faso et la Libye - adoptent des positions différentes en fonction de leurs intérêts géopolitiques. Ce rapport explique les positions de ces États sur la base de faits et d'analyses approfondies.
1. L'Algérie : Un rôle pivot et prudent.
L'Algérie se considère comme la plus grande puissance régionale en Afrique du Nord et possède une longue frontière avec le Mali, ce qui en fait un acteur clé dans l'Azawad.
L'Algérie a adopté une position en faveur de "l'unité du Mali" et s'est clairement opposée à toute velléité d'indépendance de l'Azawad, craignant que des mouvements séparatistes ne s'étendent à son territoire, notamment dans la région de Kabylie.
L'Algérie a usé de son influence diplomatique pour freiner les accords de paix, tels que l'accord d'Alger de 2015, mais n'a pas apporté de soutien réel aux revendications d'indépendance des Azawadis.
Elle a accueilli plusieurs cycles de négociations entre le Mali et les mouvements de l'Azawad, mais elle s'est toujours orientée vers des solutions d'"intégration" au sein du Mali, et non vers une indépendance totale.
Elle soutient des agences de renseignement au sein de l'Azawad pour surveiller la situation et dispose d'espions dans la région pour surveiller les mouvements des dirigeants de l'Azawad.
Analyse :
→ L'Algérie ne veut pas de l'indépendance de l'Azawad, mais elle ne veut pas non plus d'un Mali fort. Elle préfère maintenir la région dans un état de faiblesse qui lui permette d'intervenir et d'influencer à sa guise.
2. Le Maroc : Une neutralité pragmatique.
Le Maroc ne s'oppose pas à l'indépendance de l'Azawad, mais il ne la soutient pas non plus ouvertement.
Le Maroc se concentre sur les relations économiques et diplomatiques avec le Mali et les pays du Sahel, et maintient un canal de communication avec les dirigeants de l'Azawad sans intervention directe.
Le Maroc n'a pas fait d'intervention négative contre l'indépendance de l'Azawad, contrairement à l'Algérie, et n'a pas empêché l'activité politique de l'Azawad sur son territoire.
Le Maroc considère que l'Azawad ne constitue pas une menace pour lui, contrairement à l'Algérie qui voit dans son indépendance un danger stratégique.
Analyse :
→ Le Maroc préfère rester neutre et ne pas s'impliquer, mais laisse la porte ouverte pour traiter avec l'Azawad dans le futur.
3. Mauritanie : la double position.
La Mauritanie entretient des relations avec l'Azawad, mais ne soutient pas officiellement l'indépendance.
La Mauritanie accueille un grand nombre de réfugiés de l'Azawad, mais collabore en même temps avec le Mali et l'Algérie pour empêcher l'escalade de tout mouvement indépendantiste.
Ses services de sécurité arrêtent occasionnellement des militants de l'Azawad ou remettent des personnes recherchées au Mali.
Toutefois, elle est considérée comme un refuge pour certains dirigeants de l'Azawad qui éprouvent des difficultés à se déplacer dans la région en raison des pressions régionales.
Analyse :
→ La Mauritanie ne soutient pas l'indépendance de l'Azawad, mais elle n'en est pas l'ennemie directe. Sa position est basée sur l'équilibre entre les intérêts sécuritaires et les pressions régionales.
4. Le Niger : La menace sécuritaire d'abord.
Le Niger rejette totalement l'indépendance de l'Azawad, craignant que la contagion sécessionniste ne s'étende aux Touaregs sur son territoire.
Elle soutient le Mali sur le plan militaire et sécuritaire et se considère comme un partenaire dans la lutte contre les "séparatistes", même si sa position n'est pas aussi forte que celle de l'Algérie.
Elle coopère avec la France en matière de renseignement pour surveiller les mouvements de l'Azawad.
Analyse :
→ Le Niger considère toute indépendance de l'Azawad comme une menace pour son unité nationale et est donc un partenaire du Mali dans la répression des ambitions de l'Azawad.
5. Le Tchad : la puissance militaire régionale.
Le Tchad est un membre clé du G5 Sahel et est plus intéressé par la lutte contre le terrorisme que par la question de l'indépendance de l'Azawad.
Malgré la présence de forces tchadiennes dans la région, le Tchad n'intervient pas directement dans la question de l'Azawad.
Le Tchad suit la politique de la France dans la région et on ne peut donc pas s'attendre à ce qu'il soutienne l'indépendance de l'Azawad à l'heure actuelle.
Analyse :
→ Le Tchad est une puissance militaire dans la région mais n'est pas un acteur majeur dans la question de l'Azawad.
6. Le Burkina Faso : Le pays qui a changé de position.
Ces dernières années, avec la montée de l'influence russe au Burkina Faso, il a commencé à prendre des positions plus indépendantes de la France.
Cependant, sa position officielle reste favorable à l'unité du Mali, par crainte que l'instabilité ne s'étende à ce pays.
Elle n'intervient pas directement dans le dossier de l'Azawad, mais coopère en matière de sécurité avec le Niger et le Mali contre les mouvements armés de l'Azawad.
Analyse :
→ Le Burkina Faso n'a pas manifesté de position décisive à l'égard de l'Azawad, mais il tend à rejeter tout mouvement séparatiste en raison de la fragilité de sa situation en matière de sécurité.
7. La Libye : Chaos et neutralité involontaire
Depuis l'effondrement du régime de Kadhafi, la Libye est devenue un pays instable et n'a pas de position claire sur l'indépendance de l'Azawad.
Certaines factions libyennes sympathisent avec les Touaregs, tandis que d'autres les considèrent comme une menace en raison de leurs relations antérieures avec Kadhafi.
Des Touaregs libyens combattent dans les rangs des mouvements de l'Azawad, mais l'État libyen lui-même n'est pas partie prenante dans ce dossier.
Analyse :
→ La Libye n'est pas un acteur majeur dans la question de l'Azawad en raison de son chaos interne.
Conclusion: Qui est l'ami et qui est l'ennemi ?
L'Algérie : Le premier ennemi de l'indépendance de l'Azawad, utilise des espions et des tactiques secrètes pour la contrecarrer.
Niger : Rejette totalement l'indépendance et soutient le Mali contre tout mouvement séparatiste.
Mauritanie : apparemment neutre, mais coopère avec le Mali en matière de sécurité.
Maroc : Neutre, mais n'empêche pas les activités de l'Azawad sur son territoire.
Tchad, Burkina Faso et Libye : Ne sont pas directement actifs dans la question de l'Azawad.
Conclusion:
L'Azawad est presque seul dans sa bataille, sans soutien régional clair, mais avec une hostilité algérienne et nigérienne évidente. Si les Azawadis veulent obtenir leur indépendance, ils devront compter sur eux-mêmes et nouer de nouvelles alliances en dehors de la région, notamment avec les puissances mondiales qui pourraient avoir intérêt à saper l'influence algérienne et nigérienne dans le Sahel.
Voix de la liberté de l'Azawad 05-03-25

Front de libération de l'Azawad (FLA) Les mouvements de l'Azawad unis depuis le 30 novembre 2024