La population de l'Azawad est assiégée depuis un an, après que le Mali a expulsé la mission de l'ONU (MINUSMA) qui surveillait la situation humanitaire de la population.
Or, le seul acteur internationalement reconnu avec lequel les organisations de défense des droits de l’homme, humanitaires et caritatives peuvent traiter, le gouvernement malien, ne permet pas à ces organisations de passer dans les lieux où se trouvent les patients et les victimes, prétextant que ces patients sont « armés ». (!!)
Ce gouvernement et les mercenaires de Wagner sont accusés d'utiliser des armes biologiques dans leurs missiles contre ces populations. En plus du paludisme et de la diphtérie, il existe une troisième maladie qui n'a pas été reconnue et diagnostiquée.
Seules les familles touarègues sont touchées par cette nouvelle maladie. Alors qu’il existe des milliers d’autres communautés qui ne sont pas touchées. Seules les terres touarègues sont touchées.
Les maladies connues (comme le paludisme et la diphtérie) et la façon dont le Mali utilise l’épidémie pour son propre agenda génocidaire sont une chose que nous savons. Mais la troisième maladie créée par les armes biologiques/chimiques via des drones en est une autre. Ils n’ont pas pu les tuer avec le terrorisme, Wagner et les drones, alors maintenant ils créent des maladies induites.
Dans tout l’Azawad, où il n’existe ni clinique ni même trousse de premiers secours, plus de 100 personnes meurent chaque jour de maladies causées par les puits empoisonnés et les armes biologiques utilisées par les FAMa et les mercenaires de Wagner.
Et il est évident que les pays voisins et le monde entier ferment les yeux et font la sourde oreille à cette crise humanitaire créée, négligée et bloquée par l'État du Mali. Des armes biologiques illégales, ça vous dit quelque chose ? Le seul bruit qu'on entend ici est celui des fosses communes creusées.
Groupe de Soutien de l'Azawad
29-09-24
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